Travailleurs handicapés : quand le handicap se cache- Le Parisien

LE PROBLÈME EST D’AMPLEUR: il concerne un salarié sur quatre et représente, en France, la première cause d’invalidité et la deuxième cause d’arrêts de travail (chiffres de l’Organisation mondiale de la santé).

Névroses, angoisses, troubles obsessionnels compulsifs (TOC), troubles bipolaires, dépressions, mais aussi addictions diverses ou anorexies voire même psychoses ou schizophrénies, autant de pathologies, rassemblées sous le handicap psychique, qui peuvent affecter le comportement d’un salarié et sérieusement compliquer la bonne marche d’une entreprise.

La dépression de plus en plus reconnue comme maladie professionnelle – L’Express

L’Assurance maladie a assoupli la procédure de reconnaissance de la dépression comme maladie professionnelle. 394 affections psychiques ont été jugées en lien direct avec le travail en 2015 contre à peine 41 il y a cinq ans. Getty Images

Dans près d’un cas sur deux, les dossiers déposés aboutissent désormais. Sur quels critères?

Explications.

Le mal-logement, synonyme de mauvaise santé physique et mentale

La fondation Abbé Pierre a présenté son 21e rapport annuel sur le mal-logement jeudi 28 janvier, ciblé cette année sur les liens qui existent entre mal-logement et santé publique. Alors qu’aujourd’hui, 3,8 millions de personnes souffrent de mal-logement ou d’absence de logement personnel en France, le surpeuplement et l’insalubrité des habitations sont la première cause d’aggravation de leur état de santé.

Grossophobie médicale : «C’est une angoisse à chaque fois que je dois consulter» – Libération

Un physiothérapeute et des patients obèses dans une unité spéciale du CHU d’Angers, en octobre 2013. Photo Jean-Sébastien Evrard. AFP

Vous êtes gros ? C’est de votre faute, et tous vos problèmes découlent de cela. Voilà ce qu’entendent nombre de personnes en surpoids de la bouche des médecins, une attitude douloureuse psychologiquement et qui peut mener à des erreurs de diagnostic.

Grossophobie médicale : «C’est une angoisse à chaque fois que je dois consulter»

Sevrage,état de manque et dépression : comprendre les mécanismes cérébraux

L’état de manque, lors de la cessation de la prise de drogues addictives telles que la cocaïne, provoque des états d’anxiété et de dépression. Ce processus pousse l’individu à vouloir recourir de nouveau à cette substance et participe alors à la mise en place de la toxicomanie. Le syndrome dépressif représente ainsi un des obstacles supplémentaires à surmonter pendant le sevrage des personnes dépendantes.

Un éclairage sur les liens entre douleur et dépression

À l’occasion de la journée mondiale contre la douleur ce 15 octobre 2015 et plus particulièrement d’un colloque organisé à Saint-André-lez-Lille (Nord), l’inter-comité de lutte contre la douleur (inter-Clud) de la périphérie lilloise, qui regroupe plusieurs établissements de santé, se penche sur le thème « Douleur et dépression ».

L’arrêt des benzodiazépines: de nouveaux outils- E-bipo38

La Haute Autorité de santé a publié une fiche memo d’aide à l’arrêt des benzodiazépines (BZD) à l’attention du médecin traitant. Cette fiche a pour objectif de réduire les prescriptions au long cours de BZD dans l’anxiété et l’insomnie, une proportion importante de patients utilisant ces molécules en continu sur plusieurs années. Les benzodiazépines (BZD) […]

L’association longitudinale entre douleur, dépression et anxiété sur 4 années- KIOSQUE Douleur n°20 – Mars 2015

Par Séverine Conradi (CHU de Nancy)

Article commenté : Longitudinal association between pain, anddepressionandanxietyover four yearsMarloes M.J.C Gerrits et al. Journal ofpsychosomaticResearch, 78 (2015) 64-70

Les auteurs de cet article nous exposent le fruit d’une recherche intégrée dans un programme spécifique au Pays-Bas qui s’intitule « Netherlands Study of Depression and Anxiety » (NEDSA).

Plusieurs publications ont déjà eu lieu, mais les auteurs nous font part d’une attention particulière portée à trois syndromes souvent présents chez les patients que nous rencontrons. En effet, ils se sont centrés sur l’analyse des relations entre douleur, dépression et anxiété et leur évolution sur 4 années. C’est la notion de trajectoire qui est ici étudiée sur un échantillon de plus de 2000 sujets, en identifiant 4 évolutions type ou 4 trajectoires :

Le DIU «clinique et psychopathologie de la douleur»

Le DIU « clinique et psychopathologie de la douleur » constitue une formation universitaire complémentaire de haut niveau. Elle permet aux professionnels engagés dans des suivis de patients douloureux de disposer d’une formation solide, à la fois pratique et théorique, concernant les aspects psychologiques et psychopathologiques de la douleur.